Voilà qui va faire plaisir aux amateurs de voitures électriques, et aux fans de Volkswagen. La Volkswagen ID.4 va être restylée, comme l’a confirmé Kai Grünitz, le chef de l’ingénierie de la marque, au magazine Autocar. La date de sortie de cette ID.4 restylée est attendue avec impatience : elle promet de transformer l’expérience de conduite de l’un des SUV électriques les plus populaires du marché.

La date de sortie suivra celle d’un autre modèle restylé

Marquez votre calendrier : la date de sortie de la Volkswagen ID.4 restylée est prévue pour fin 2026. Elle fera suite à l’ID.3 restylée, attendue quant à elle au deuxième trimestre 2026. Avec cette nouvelle gamme, Volkswagen aspire à redorer son image de marque et à rendre ses véhicules à nouveau reconnaissables et iconiques.

Notons que l’ID.4 a déjà connu une légère mise à jour en 2024. Ce premier restylage était principalement axé sur l’intérieur, avec l’intégration d’un écran d’infodivertissement plus grand, ainsi que des améliorations sous le capot, notamment un moteur plus puissant et une autonomie légèrement accrue. Cependant, la prochaine version, dont nous parlons ici, sera une refonte bien plus significative.

Une nouvelle identité visuelle et un intérieur repensé

Le restylage de l’ID.4 ne se limitera pas à quelques retouches esthétiques. Volkswagen a l’intention de donner à son SUV une toute nouvelle allure, inspirée de la future ID.2, dont la sortie est prévue début 2026. Attendez-vous à une silhouette plus basse et plus musclée, marquant ainsi la nouvelle identité de la marque, qui sera en vigueur jusqu’à l’arrivée de la Golf électrique en 2028.

L’intérieur de l’ID.4 restylée ne sera pas en reste. Volkswagen a écouté les retours de ses utilisateurs et va remplacer les controversées commandes tactiles par des boutons physiques. Kai Grünitz a notamment insisté sur le retour du bouton de contrôle du volume, et a déclaré : « Cela fonctionne depuis des années, et il n’y a aucune raison de le remplacer. » Cette approche vise à améliorer l’ergonomie et la facilité d’utilisation au quotidien. Un tout nouveau tableau de bord est également au programme, promettant une expérience plus moderne et intuitive.

Performances et autonomie améliorées

Outre les changements esthétiques et ergonomiques, l’ID.4 restylée bénéficiera d’importantes améliorations technologiques. Grâce à des avancées sur la batterie et les moteurs, les conducteurs pourront s’attendre à une meilleure autonomie et de meilleures performances. Malheureusement, l’ID.4 restylée conservera son architecture 400 V, contrairement à la future Golf électrique qui disposera de 800 V grâce à la nouvelle plateforme SSP, ou à de nombreuses concurrentes chinoises.

Actuellement, le prix de la Volkswagen ID.4 débute à 41 500 € (hors bonus) pour sa version de base, et monte jusqu’à 54 990 € pour la version la plus onéreuse. Les tarifs de la version restylée n’ont pas encore été annoncés, mais ces améliorations devraient renforcer son attractivité sur le marché concurrentiel des véhicules électriques.

Que pensez-vous de ces changements annoncés pour l’ID.4 restylée ? Sont-ils suffisants pour vous convaincre ?

Tesla a lancé aujourd’hui ses premières courses en robotaxi à Austin, au Texas. Jusqu’ici, une inconnue subsistait : combien coûterait un trajet dans l’un de ces véhicules autonomes ? Le prix d’une course en robotaxi Tesla est maintenant connu : 4,20 $ par trajet, quelle que soit la distance parcourue.

Ce prix est avant tout symbolique : Elon Musk l’a choisi en référence au chiffre 420, qu’il a déjà utilisé par le passé et qui symbolise aux Etats-Unis la consommation de cannabis.

A ce prix, les robotaxis Tesla rouleront à perte

A ce prix, il est peu probable que Tesla réalise le moindre bénéfice avec ses robotaxis. Certes, ce nouveau service de véhicules autonomes utilise des voitures de série : des Model Y, plus précisément. Elon Musk affirme qu’elles sont toutes neuves et n’ont pas été modifiées à leur sortie d’usine. Elles utilisent donc un hardware standard, basé sur des caméras et des radars. Seul le programme de conduite autonome est différent de celui installé sur les Tesla grand public.

Les courses en robotaxi ne coûtent donc sans doute pas très cher à Tesla, à un détail près : un opérateur est toujours présent au volant, prêt à reprendre le contrôle à tout moment en cas de problème. Le prix de 4,20 $ est donc faible comparé à ce que coûte vraiment la course : avec un chauffeur présent, il faudrait facturer un prix au moins comparable à celui d’une course en Uber pour espérer être rentable.

Un robotaxi Tesla revient moins cher qu’une voiture Waymo

On peut comparer ce prix à celui d’une course en Waymo, le principal concurrent de Tesla. La filiale de Google, considérée comme le leader actuel dans les véhicules autonome, pratique des prix plus élevés que Tesla : environ 10 à 20% plus cher qu’un trajet équivalent en Uber.

Mais il faut noter que les voitures autonomes Waymo sont bien plus onéreuses que les robotaxis Tesla. En effet, elles sont équipées de plusieurs Lidars, qui leur permettent de cartographier leur environnement en 3D. De plus, Waymo utilise actuellement des voitures Jaguar I-Pace électriques, qui sont beaucoup plus chères que les Tesla Model Y. Ainsi, le prix d’une voiture Waymo est estimé à 200 000 dollars environ.

Tesla a des années de retard

Lors du lancement de ses robotaxis aujourd’hui à Austin, Tesla n’a mis en circulation que 10 véhicules. Le défi reste donc immense pour Elon Musk s’il veut rattraper son concurrent Waymo, qui effectue actuellement plus de 250 000 courses par semaine.

Depuis des années, Elon Musk promet que toutes les Tesla équipées du système FSD (Full Self Driving) seront à terme capable de rouler de façon 100% autonome partout sur la planète. On en est pour l’instant bien loin : les robotaxis que Tesla a lancés aujourd’hui à Austin ressemblent beaucoup plus au système de Waymo, c’est-à-dire des véhicules capables d’opérer uniquement dans une zone géographique restreinte.

Les détracteurs d’Elon Musk affirment que ces robotaxis Tesla ne seront jamais capables d’assurer un niveau de sécurité satisfaisant, car il leur manque justement un système de Lidar pour empêcher des collisions en cas de mauvaise visibilité. Tesla le reconnaît d’ailleurs : lors du lancement, l’entreprise a prévenu que ses robotaxis ne circuleraient pas en cas de mauvaise météo.

Il faudra donc plus qu’un prix alléchant de 4,20 $ la course pour assurer le succès des robotaxis Tesla. Rendez-vous dans quelques mois pour savoir si Elon Musk parviendra à déployer ses véhicules autonomes à grande échelle, justifiant ainsi le prix très élevé de l’action Tesla en bourse.

Ça y est : Nissan vient de dévoiler la nouvelle version de la Leaf, son iconique voiture électrique. Ce modèle 2026 aura la lourde responsabilité de succéder aux deux précédentes versions, dont la première avait été une véritable précurseure de l’électrification automobile. Mais quelle sera la date de sortie en France de cette nouvelle Nissan Leaf 2026 ?

Sa production démarrera en octobre prochain à l’usine brittanique de Sunderland, mais sa date de sortie réelle en France interviendra au printemps 2026, d’après le Journal de l’Automobile. La sortie sera mondiale : elle aura lieu en Europe (France incluse), en Amérique du Nord, au Japon, et en Australie.

Depuis la sortie du modèle initial en 2010, le constructeur japonais a vendu plus de 700 000 Leaf, avec lesquelles les automobilistes ont parcouru plus de 28 milliards de kilomètres.

La Nissan Leaf devient un crossover

Si vous souhaitez acheter une voiture électrique familiale et relativement bon marché, il pourrait donc être intéressant pour vous d’attendre la sortie de cette nouvelle Nissan Leaf. Ce ne sera plus une compacte, comme les versions précédentes, mais bien un crossover.

Ce choix peut paraître étonnant compte tenu de l’histoire du modèle, mais d’après Nissan, il reflète les nouveaux besoins des clients, et notamment des familles, qui constituent une part importante de la clientèle de cette voiture.

Cette nouvelle Nissan Leaf 2026 a des dimensions plus imposantes que précédemment : 4264 mm de longueur, 1809 mm de largeur, et 1570 mm de hauteur. Au lancement, elle sera disponible en 6 couleurs.

L’intérieur sera équipé d’un système d’infodivertissement développé par Google. La voiture bénéficiera de mises à jour Over The Air, c’est-à-dire qu’elles se feront de manière automatique par wi-fi ou par le réseau mobile.

L’aérodynamique au coeur du design pour une meilleure autonomie

La nouvelle Nissan Leaf sera disponible en deux versions :

  • Autonomie standard, avec une batterie de 52 kWh et 436 km d’autonomie,
  • Autonomie étendue, avec une batterie de 75 kWh et 604 km d’autonomie.

Elle disposera de la fonction vehicle-to-load, qui permet de brancher des appareils électriques sur la voiture.

Avec cette nouvelle Leaf, Nissan mise gros sur l’efficacité énergétique. La voiture aura un excellent coefficient aérodynamique (Cx) de 0,25, ce qui lui permettra d’afficher une autonomie de plus de 300 km sur autoroute, et jusqu’à 500 km à des vitesses plus faibles.

Ce nouveau modèle est doté de poignées de porte affleurantes, d’un obturateur de calandre actif, de roues améliorées, d’une nouvelle silhouette fastback et d’un bas de caisse plat pour une meilleure efficacité.

Tout cela lui assurera une consommation moyenne de 14kWh/100 km, une valeur effectivement excellente, surtout pour cette gamme de véhicule.

Le prix de cette nouvelle Nissan Leaf sera révélé à la date de sortie

La voiture sera basée sur la plateforme électrique CMF-EV, aussi appelée AmpR Medium chez Renault. Cette plateforme est conçue pour mettre en commun de nombreuses pièces entre les différents modèles qu’elle équipe, afin de réduire au maximum les coûts. La nouvelle Nissan Leaf partagera cette plateforme avec la Nissan Ariya, les Renault Mégane et Scénic E-tech, et l’Alpine A290.

Nissan n’a pas encore révélé le prix officielle de cette nouvelle Leaf 2026. Étant donné sa transformation en SUV, son positionnement sur une plateforme plus moderne et ses technologies, il est fort probable que son prix de départ soit plus élevé que celui de la Leaf actuelle.

Des estimations suggèrent que son prix pourrait être équivalent à celui de la Renaut Scénic E-tech, soit 39 990 €. D’autres sources indiquent un prix plus proche de 35 000 €.

Nous attendons donc avec impatience la date de sortie en France de cette nouvelle Nissan Leaf pour savoir lequel de ces chiffres se confirme !

Nouvelle Nissan Leaf 2026 : galerie photos

En mai dernier, Xiaomi avait officiellement présenté son nouveau SUV électrique, le YU7. Son design avait reçu un accueil enthousiaste. Aujourd’hui, Lei Jun, le PDG de la marque, vient d’annoncer l’information que tout le monde attendait : la date de sortie officielle du Xiaomi YU7. Elle aura lieu fin juin, soit dans moins de deux semaines.

Lei Jun avait précédemment évoqué une date de sortie en juillet, mais il a décidé de l’avancer à fin juin, date à laquelle les ventes seront officiellement lancées.

Le Xiaomi YU7 est très attendu, et il est probable qu’il provoque un véritable buzz sur internet lors de sa date de sortie. Cela avait été le cas pour sa petite soeur la Xiaomi SU7, une berline électrique qui avait suscité un engouement sans précédent. Le jour de son lancement, elle s’était vendue à plus de 50 000 exemplaires en 27 minutes. Puis les clients avaient fait la queue jusqu’à 3 heures du matin dans les showrooms de Xiaomi pour avoir le privilège de l’essayer en avant-première.

Le Xiaomi YU7 connaîtra-t-il aussi un succès retentissant ?

La SU7 avait fait basculer Xiaomi d’un « simple » constructeur de smartphones à un membre respecté de l’industrie automobile, grâce à des cadences de productions qui avaient rapidement atteint des chiffres très élevés. La marque avait produit plus de 10 000 voitures en un mois, un temps record pour un nouveau venu sur le marché.

Le nouveau SUV de Xiaomi partage de nombreux éléments de design avec son modèle soeur. Les internautes comparent l’apparence du YU7 avec des véhicules beaucoup plus haut de gamme : son identité rappelle des marques telles que Porsche ou Aston Martin. L’intérieur n’a rien à envier non plus à ces marques prestigieuses, avec son style épuré et chalereux.

Le Xiaomi YU7 possède également de nombreuses qualités techniques. Son autonomie est excellente : elle va de 760 à 835 km selon les versions. Il pourra être rechargé très rapidement grâce à une architecture électrique de 800V, le nouveau standard pour les véhicules haut de gamme chinois.

Le prix du Xiaomi YU7 sera dévoilé juste avant la date de sortie

Un élément important concernant le véhicule n’a pas encore été dévoilé à l’heure actuelle : son prix. Lors d’une conférence, Lei Jun avait précisé que le prix du Xiaomi YU7 ne serait fixé que quelques jours avant sa date de sortie. La plupart des observateurs l’estiment aux alentours de 250 000 Yuans, soit 30 000 euros, lorsqu’il sortira en Chine.

Les voitures électriques de Xiaomi ne sont pas encore profitables pour l’instant, mais Lei Jun a annoncé aux investisseurs qu’il s’attendait à réaliser des bénéfices à partir du deuxième semestre 2025.

Est-ce enfin la voiture électrique vraiment pas chère que tout le monde attendait ? BYD, le géant chinois de l’automobile, s’apprête à lancer ce samedi 7 juin sa nouvelle berline électrique low-cost, la Seal 06. Son argument principal : un prix incroyable.

Un prix défiant toute concurrence

Le lancement aura lieu en Chine, à l’occasion du salon automobile de Chongqing. La principale information qui fait déjà grand bruit est le prix de départ de cette BYD Seal 06 : seulement 120 000 yuans, soit 14 700 €.

Un tarif qui la positionne d’emblée comme une concurrente redoutable sur le segment des véhicules électriques abordables, et qui pourrait bien démocratiser l’accès à la mobilité zéro émission pour un public plus large.

Attention à ne pas confondre la nouvelle BYD Seal 06 avec sa grande sœur, la BYD Seal. Cette dernière est une berline électrique plus grande et plus premium, déjà bien établie sur les marchés internationaux. Ne pas la confondre non plus avec la Seal 06 GT, une voiture sportive dédiée à l’exportation, dotée d’une motorisation plus puissante. Reconnaissons que la nomenclature de BYD n’est vraiment pas claire !

La famille « Seal » de BYD est en tout cas en pleine expansion et comprend aussi des modèles hybrides : les Seal 05 DM-i, Seal 06 DM-i, et Seal 07 DM-i.

Design et caractéristiques techniques

La BYD Seal 06, qui avait déjà été dévoilée au salon de Shanghai en avril dernier, reprend le langage de design fluide et élégant de la gamme « Ocean » de BYD. Ses dimensions la positionnent comme une berline de taille moyenne, avec 4 720 mm de longueur, 1 880 mm de largeur et 1 495 mm de hauteur, pour un empattement de 2 820 mm.

Sous le capot, la Seal 06 proposera deux options de batterie : un pack de 46,08 kWh offrant une autonomie CLTC de 470 km, et un pack plus conséquent de 56,6 kWh permettant d’atteindre une autonomie de 545 km. Toutes les variantes seront équipées d’un moteur unique, avec des puissances de 110 kW ou 160 kW. La vitesse de pointe variera en fonction du moteur choisi, atteignant 160 ou 180 km/h.

La BYD Seal 06 sera-t-elle lancée en France ?

Pour l’heure, le lancement de la BYD Seal 06 n’a pas encore été annoncé en France. Cependant, l’arrivée d’un tel véhicule sur le marché européen serait une excellente nouvelle pour les consommateurs en quête d’une voiture électrique abordable.

Si la voiture venait à être commercialisée dans notre pays, il faudrait malheureusement s’attendre à un prix plus élevé que celui affiché en Chine. Cette augmentation serait due aux droits de douane de 17% que la France applique aux véhicules BYD, ainsi qu’aux coûts de transport et de mise aux normes européennes. Dans ce scénario, la BYD Seal 06 aurait un prix de départ d’au moins 20 000 € en France.

Au mois de mai dernier, le constructeur chinois a enregistré des ventes impressionnantes, avec 382 476 véhicules écoulés dans le monde entier. Avec des modèles comme la Seal 06, BYD démontre sa capacité à proposer des véhicules électriques innovants et compétitifs, remettant en question la domination des acteurs historiques et ouvrant de nouvelles perspectives pour la mobilité électrique.