Retenez bien le nom de ce SUV électrique, car il pourrait bientôt apparaître sur nos routes : le BYD Sealion 06. Il est déjà best-seller en Chine, alors qu’il n’est sorti que le 24 juillet 2025. Va-t-il vraiment arriver en France, et si oui, à quel prix ?

Sur le segment très compétitif des SUV électriques de taille moyenne, le BYD Sealion 06 a réalisé un véritable carton dans l’empire du Milieu. Depuis sa sortie, il s’est écoulé à plus de 100 000 exemplaires en moins de 100 jours. Il est d’ores et déjà le véhicule BYD qui a atteint le plus rapidement la barre des 100 000 exemplaires, toutes catégories confondues.

Dans la gamme de BYD, il remplace le déjà très populaire BYD Seal U, poussé vers la sortie, et qui est connu sous les noms de BYD Sealion 6 ou BYD Song Plus en Chine. Vous ne comprenez rien à cette nomenclature ? Nous non plus, mais ce n’est pas grave. BYD est connu pour donner des noms extrêmement confus à ses véhicules, d’autant qu’ils diffèrent entre la France et la Chine.

En tout cas, le BYD Sealion 06 semble bien parti pour devenir le modèle le plus vendu de l’histoire de BYD. C’était déjà le cas de son prédécesseur, qui s’était écoulé à plus de 511 000 exemplaires dans le monde en 2024.

Le Sealion 06 est aidé par un avantage de taille : son prix. En effet, la version de base démarre à 139 800 yuans, soit seulement 17 000 €. Et la version à la plus grosse batterie ne vaut que 163 800 yuans, soit 20 000 €.

Le BYD Sealion 06 va-t-il sortir en France plus rapidement qu’on ne le croit ?

Mais voici la question essentielle : le BYD Sealion 06 va-t-il arriver en France ? Pour l’instant, la marque ne l’a pas confirmé officiellement, et n’a pas communiqué de date de sortie du SUV à l’export. Mais il semble très probable que le Sealion 06 sorte en France dans un futur proche, étant donné son succès. De plus, le Seal U, le modèle qu’il remplace, est vendu dans notre pays depuis plusieurs années.

Il s’était écoulé un peu plus de deux ans et demi entre la sortie du Seal U en Chine (avril 2021) et sa sortie en France (début 2024). Cependant, pour le Sealion 06, l’attente pourrait être plus courte : les derniers modèles de BYD (comme la Dolphin Surf) étaient sortis plus rapidement dans notre pays. De plus, BYD pourrait vouloir accélérer sa conquête du marché européen pour concurrencer les nombreuses marques chinoises qui s’y lancent actuellement.

Nous estimons donc que la BYD Sealion 06 pourrait sortir en France dès fin 2026 ou dans le courant de l’année 2027.

Le prix sera moins attractif en France en raison des droits de douane

Quel sera le prix de ce Sealion 06 lorsqu’il sortira en France ? Bien sûr, il sera bien plus élevé qu’en Chine en raison des droits de douane sur les voitures électriques chinoises et des coûts de transport. Par exemple, le BYD Seal U coûte 38 990 € minimum en France, alors qu’il est disponible à partir de 18 200 € en Chine (149 800 yuans).

Si l’on applique la même proportion, le prix du BYD Sealion 06 en France pourrait donc être voisin de 36 400 € dans sa version de base, et de 42 800 € dans sa version à la plus grosse batterie.

Des prix certes plus élevés, mais qui restent raisonnables compte tenu des très bonnes caractéristiques techniques du Sealion 06. Il est disponible dans 3 variantes :

  • Navigation : 520 km d’autonomie (cycle CLTC), batterie de 65 kWh, architecture 400V
  • Navigation Pro : 605 km d’autonomie, batterie de 78 kWh, architecture 800V
  • Navigation Plus : 605 km d’autonomie, batterie de 78 kWh, architecture 800V, fonctionnalités avancées d’assistance à la conduite, HUD (Head-Up Display)

Les versions équipées d’une architecture électrique de 800 V peuvent être rechargées à une puissance de 237 kW.

Le Sealion 06 sera également disponible dans des versions hybrides rechargeables.

Son design reprend l’identité de la nouvelle gamme BYD baptisée Ocean, que l’on trouve sur tous les nouveaux véhicules de la marque.

Le véhicule mesure 4 810 mm de long, 1 920 mm de large et 1 675 mm de haut, avec un empattement de 2 820 mm. Côté rangement, le Sealion 06 EV dispose d’un coffre avant de 142 litres et d’un coffre arrière de 757 litres, extensible à 1 630 litres une fois les sièges arrière rabattus. 

Voilà plusieurs mois qu’on était sans nouvelles du Tesla Solar Roof. Alors que cette technologie paraissait prometteuse, l’entreprise d’Elon Musk a progressivement cessé d’en produire à partir de 2023. Mais lors de la publication des résultats du 3ème trimestre, Tesla a révélé produire un nouveau modèle de panneaux solaires. Le Tesla Solar Roof va-t-il faire son grand retour ?

Michal Snyder, le vice-président de la division Énergie de Tesla, a fait cette annonce hier :

« Nous avons démarré la production de notre panneau solaire résidentiel Tesla dans notre usine de Buffalo, et nous l’expédierons à nos clients dès le premier trimestre [2026]. Ce panneau solaire offre une esthétique et une performance de pointe, et témoigne de notre engagement continu envers la production aux Etats-Unis »

Il n’a pas précisé le nom de ce nouveau produit, mais le fait qu’il fasse référence à l’esthétique du panneau solaire fait penser à un retour du Tesla Solar Roof. Les nouveaux panneaux seront produits à la Gigafactory New York, située à Buffalo, l’usine qui produisait les toits solaires par le passé.

De plus, Tesla, qui n’avait jamais supprimé la rubrique panneaux solaires de son site internet, vient de le mettre à jour. Il reflète maintenant les caractéristiques de ces nouveaux panneaux. Leur puissance est passée de 405 à 410 W, ce qui pourrait correspondre au nouveau modèle.

Le Tesla Solar Roof serait plus rentable et moins cher actuellement

Le retour du Tesla Solar Roof aurait du sens : les prix de l’électricité sont en forte hausse aux Etats-Unis, et cela risque de s’accélérer avec l’avènement de l’IA. En effet, les nouveaux data centers en construction pour entraîner les modèles d’IA auront besoin de quantités phénoménales d’énergie. Il va donc devenir de plus en plus intéressant pour les particuliers de posséder des panneaux solaires, afin d’en profiter et de réduire leur facture d’énergie.

Le prix des panneaux solaires a également fortement baissé ces dernières années, ce qui pourrait rendre le Solar Roof plus rentable. C’était l’obstacle principal qui a empêché le succès du toit solaire : son prix très élevé, entre 50 000 et plus de 100 000 euros, le réservait à une élite très fortunée.

En 2022, Tesla n’avait installé en moyenne que 23 Solar Roofs par semaine, alors qu’Elon Musk avait annoncé un objectif de 1000 toits par semaine pour 2019 lors de la sortie du Solar Roof. Et En 2023, un rapport d’une société indépendante avait estimé qu’il n’y avait que 3000 Tesla Solar Roofs installés.

Cette fois, les choses pourraient être différentes : la nouvelle donne sur le marché des panneaux solaires pourrait permettre à Tesla de produire enfin des toits solaires en grande quantité. Il restera cependant un obstacle de taille : l’installation des toits demande une main d’œuvre considérable, dont Tesla ne dispose pas. Elle devra donc nouer des partenariats avec des installateurs qualifiés, qui sont rares.

Une chose est sûre : la date de sortie de ce nouveau panneau solaire approche, puisqu’il sera livré dès le premier trimestre 2026. Nous en saurons bientôt plus sur un retour éventuel du Tesla Solar Roof.

Le concept-car électrique Jaguar Type 00 a déjà fait couler beaucoup d’encre. En mai dernier, la marque britannique avait révélé cette nouvelle voiture dans une pub qui avait choqué, car elle avait été jugée trop woke. Mais Jaguar va bientôt pouvoir faire oublier cet épisode : le modèle de production de la Type 00 a été aperçu en train de réaliser des essais sur le mythique circuit allemand du Nürburgring, signe que sa date de sortie approche.

Et il faut reconnaître une chose : la version de pré-production de la voiture a l’air de respecter l’esprit du concept-car. Son design semble fidèle à celui qui avait fortement fait réagir il y a quelques mois : même sous le camouflage, il conserve les lignes futuristes osées de la Type 00.

La Jaguar Type 00 électrique a déjà fortement marqué les esprits

Lorsque la voiture avait circulé dans les rues de Paris au début de l’année, elle avait mis les réseaux sociaux en ébullition : elle paraissait photoshoppée sur les clichés, tant son apparence était à la fois simpliste et inhabituelle. Cette apparence était accentuée par une peinture mate qui supprimait les reflets et lui donnait un air irréel.

La voiture aperçue au Nürburgring se distingue néanmoins du concept Jaguar Type 00 sur plusieurs points. Tout d’abord, c’est devenue une berline à 4 portes, alors que le concept-car était un coupé. Des rétroviseurs ont également été ajoutés. Et enfin, elle a été surélevée, pour mieux correspondre aux exigences d’un modèle de production.

Jaguar veut faire oublier la controverse

Jaguar mise gros sur cette nouvelle voiture 100% électrique. En effet, la marque est en grande difficulté : en avril 2025, elle n’avait vendu que 49 voitures, suite au tollé qu’avait suscité sa nouvelle identité controversée. Soit une baisse de 97% par rapport à l’année précédente. Jaguar assure cependant que cette baisse est due à un arrêt de la production pour préparer l’arrivée de sa nouvelle voiture électrique.

Dans une publicité, la marque avait révélé son nouveau logo, qui avait fortement fait réagir. Les consommateurs avaient jugé qu’il manquait de personnalité. Aucune voiture n’apparaissait dans la pub, ce que beaucoup de gens avaient interprété comme un reniement de l’identité historique de Jaguar. Et enfin, la pub avait été jugée woke, car elle mettait en avant des personnes issues de l’immigration habillées dans des tenues fantaisistes.

Suite à ce fiasco, le gouvernement britannique avait dû débloquer 1,7 milliards d’euros pour sauver la marque, afin de garantir la pérennité de la chaîne d’approvisionnement.

Malheureusement, le cauchemar avait ensuite continué : en septembre dernier, le groupe Jaguar Land Rover a été victime de l’une des plus grandes cyberattaques de l’histoire de l’automobile. L’attaque a mis ses usines complètement à l’arrêt pendant plus d’un mois. Le gouvernement britannique estime à présent que l’attaque a coûté plus de 2,1 milliards d’euros à l’économie du pays.

Espérons que cette nouvelle Jaguar Type 00 électrique parvienne à sauver la marque, dont le destin ne tient plus qu’à un fil. La voiture doit être révélée courant 2026, et les essais au Nürburgring indiquent que les délais devraient être tenus.

La date de sortie effective de cette nouvelle Jaguar Type 00 se situera début 2027. Jaguar a confirmé qu’elle aurait environ 770 km d’autonomie, un chiffre approprié pour une voiture électrique très haut de gamme. Son prix n’a pas encore été officialisé, mais il devrait dépasser les 120 000 €.

Rivian, la startup californienne connue pour ses 4×4 électriques, vient d’annoncer la création d’une marque entièrement dédiée au vélo électrique. Baptisée ALSO, cette nouvelle entreprise a pour mission d’étendre la mobilité durable au-delà de l’automobile, en s’attaquant cette fois au segment de la micromobilité.

Pour marquer ce lancement, ALSO a dévoilé deux véhicules inédits : le TM-B (Transcendent Mobility Bike), un vélo électrique modulaire, et le TM-Q (Transcendent Mobility Quad), un cargo électrique à quatre roues assisté par un pédalier. Ces deux modèles illustrent la volonté de Rivian d’apporter au monde du vélo la même approche technologique et design que celle appliquée à ses SUV et pick-up.

Rivian et Amazon confirment leur alliance, qui dure depuis 2019

Mais l’annonce ne s’arrête pas là. Rivian a également révélé un nouveau partenariat avec Amazon, qui prévoit d’acheter « des milliers » de vélos cargo TM-Q pour ses opérations de livraison aux États-Unis et en Europe. L’objectif d’Amazon est de réduire ses émissions sur le dernier kilomètre, tout en fluidifiant la circulation dans les zones urbaines denses et en améliorant son bilan carbone.

« Les solutions de micromobilité comme ces cargos électriques nous permettront de livrer rapidement dans les zones urbaines denses, tout en réduisant le trafic et le bruit », a déclaré Emily Barber, directrice de la flotte mondiale d’Amazon.

Amazon et Rivian sont partenaires depuis longtemps : en effet, l’entreprise de Jeff Bezos a eu l’exclusivité sur les vans électriques de livraison Rivian RCV jusqu’à novembre 2023. Le géant de l’e-commerce en a déjà acquis plus de 10 000 exemplaires et prévoit d’en posséder 100 000 d’ici 2030. De plus, Amazon est l’un des principaux investisseurs de Rivian : elle avait investi 700 millions de dollars dans la startup en 2019.

ALSO fait du Rivian, mais dans les vélos électriques

Comme les 4×4 Rivian, le vélo électrique ALSO TM-B se distingue par son niveau d’innovation. Il sera le premier modèle grand public à intégrer le « pedal by wire », une technologie où les pédales ne sont plus reliées mécaniquement aux roues, mais alimentent un générateur qui recharge la batterie. Autre première mondiale : il pourra être rechargé via une simple prise USB-C, permettant une recharge presque partout.

Le TM-B sera proposé avec deux capacités de batterie, 538 Wh ou 808 Wh, offrant jusqu’à 160 km d’autonomie. Avec le chargeur officiel, il pourra être rechargé en deux heures pour la petite batterie, ou en 3h45 pour la plus grande. Un écran à encre électronique affichera l’état de charge, et la vitesse maximale atteindra 45 km/h.

Le design du TM-B tranche avec celui des vélos électriques traditionnels : lignes futuristes, cadre épuré et structure adaptable. Son principal atout réside toutefois dans sa modularité. Il pourra être transformé sans outils en version biplace ou en version cargo selon les besoins.

L’édition de lancement sera commercialisée à 4 500 dollars (environ 3 900 euros), tandis qu’une version standard, attendue pour le printemps 2026, sera vendue au prix de 4 000 dollars (environ 3 500 euros). Le quad TM-Q, quant à lui, sera également décliné dans une version cargo grand public, capable de transporter des charges plus lourdes, renforçant la vision de Rivian d’une mobilité électrique complète, du vélo au pick-up.

Le timing ne doit rien au hasard. Il y a une semaine, Waymo, la filiale de Google, annonçait l’arrivée de ses voitures autonomes à Londres. Et aujourd’hui, le chinois Baidu annonce qu’il va déployer ses robotaxis Apollo Go en Suisse. La guerre est officiellement lancée : les deux entreprises entendre bien se battre pour obtenir l’hégémonie en Europe dans le domaine de la voiture autonome.

Apollo Go n’a rien d’une entreprise débutante. Elle est déjà leader en Chine, et est considérée comme le numéro 2 mondial de la conduite autonome, juste derrière Waymo. L’entreprise appartenant au géant de l’intelligence artificielle Baidu opère actuellement plus de 800 véhicules dans 16 villes, dont Wuhan, Pékin et Shanghai. Rien qu’au deuxième trimestre 2025, elle a effectué plus de 2,2 millions de courses en robotaxi sans conducteur au volant.

La Suisse, le pays idéal pour les voitures autonomes Apollo Go

Baidu n’a pas non plus choisi la Suisse par hasard. Le pays est réputé pour sa sécurité, la qualité de son infrastructure routière, et la discipline de ses conducteurs. Il présente donc les conditions idéales pour lancer un service de voitures autonomes sur les routes européennes, qui sont plus difficiles à appréhender que les vastes avenues américaines ou chinoises.

Pour son lancement en Suisse, Apollo Go a annoncé un partenariat avec PostBus, un opérateur de transports publics appartenant à la poste suisse. Le service de taxis autonomes sera baptisé « AmiGo ».

Les essais débuteront en Suisse dès le mois de décembre, avec un conducteur de sécurité. Puis, aux alentours de mi-2026, les véhicules commenceront à rouler sans conducteur à bord. Enfin, si tout se passe bien, des courses en taxi autonome seront proposées au grand public à partir de 2027.

Apollo Go utilisera pour cela des véhicules RT6 de sa fabrication, construits spécialement pour la conduite autonome. Ils ont la particularité d’avoir un volant amovible : dès que le conducteur ne sera plus nécessaire, l’entreprise prévoit de démonter le volant pour offrir plus de place dans l’habitacle.

Notons que les voitures autonomes d’Apollo Go n’arriveront pas qu’en Suisse : en effet, l’entreprise a aussi annoncé un lancement au Royaume-Uni et en Allemagne, en partenariat avec l’opérateur de VTC Lyft. Mais ce partenariat ne débutera qu’en 2026.

Waymo Vs Apollo Go : qui sera le vainqueur ?

Cette bataille qui s’annonce en Europe entre Apollo Go et Waymo sera décisive. En effet, en raison de la complexité des routes et de la circulation sur le vieux continent, la plupart des observateurs jugent que le résultat sera critique pour savoir si les voitures autonomes ont réellement vocation à envahir le monde.

Si l’une des deux entreprises réussit son pari, elle aura prouvé que ses robotaxis peuvent s’adapter à la plupart des pays, ce qui lui ouvrira la voie à un développement rapide. De là à imaginer que les voitures autonomes remplacent les voitures individuelles, il n’y a qu’un pas.

Waymo a pour l’instant l’avantage : la filiale de Google opère actuellement plus de 250 000 courses autonomes par semaine aux Etats-Unis, soit près de deux fois plus qu’Apollo Go. De plus, son bilan sécuritaire est excellent, alors que le bilan d’Apollo Go en Chine reste largement méconnu.

Tesla, quant à elle, fait figure de retardataire : l’entreprise vient tout juste de lancer ses premiers taxis autonomes aux Etats-Unis, mais il y a toujours des conducteurs à bord et le nombre de courses est très limité.

Bientôt des voitures autonomes en France ?

Verra-t-on Waymo et Apollo Go arriver en France dans un avenir proche ? Cela n’est pas impossible, mais les deux entreprises voudront tout d’abord confirmer leur succès sur leurs marchés d’arrivée en Europe avant de se lancer dans d’autres pays.

De plus, la France est considérée comme un pays très difficile pour les voitures autonomes : routes étroites, circulation dense, conditions de sécurité parfois dégradées… Il faudra donc attendre encore un peu avant de commander votre premier taxi autonome près de chez vous.

Les livraisons de la nouvelle MG4 2025 ont débuté en Chine. Et une surprise a fait réagir les premiers clients : la batterie est fabriquée par CATL, contrairement à ce qui avait été annoncé auparavant. Grâce à cette batterie dernier cri, l’autonomie s’envole : elle atteint les 530 km (cycle CLTC).

CATL est le plus gros fabricant mondial de batteries. Ses cellules sont réputées pour leur grande qualité et pour leur technologie très avancée, surtout concernant leur densité énergétique et leur vitesse de recharge. CATL est connue pour ses batteries Blade, qui en sont maintenant à leur deuxième version et équipent notamment plusieurs modèles de BYD, dont la Dolphin.

Une bonne autonomie grâce à une consommation très basse

Les clients de cette nouvelle MG4 2025 ont donc été agréablement surpris par la nouvelle. Pour l’instant, les batteries CATL ne concernent que la version 530 Smart de la voiture. Cette version contient une batterie de 53,9 kWh, ce qui signifie qu’elle affiche une consommation remarquablement basse de 10,2 kWh/100 km.

La nouvelle MG4 améliore largement son autonomie par rapport à la MG4 actuelle : celle-ci n’a que 450 km d’autonomie (WLTP) dans sa version actuelle à grosse batterie. Certes, le cycle chinois CLTC est réputé pour son optimisme, mais le nouveau chiffre de 530 km est tout de même remarquable, surtout pour une voiture de cette gamme. La nouvelle MG4 2025 en version 530 Smart est proposée en Chine à un prix de 99 800 yuans, soit seulement 12 100 € !

MG a précisé que le choix d’une batterie CATL permettrait de respecter ses engagements concernant la date de livraison. La MG4 2025 avait été dévoilée au mois d’août dernier, et le PDG de la marque avait promis de livrer les premiers exemplaires 530 Smart au mois d’octobre. La promesse a bien été tenue.

La MG4 2025 existe dans deux autres versions avec des batteries d’autres marques

Pour l’instant, la version d’entré de gamme de cette nouvelle MG4 n’a pas eu droit à des batteries CATL. Elle équipée d’un pack de 42,8 kWh, qui lui donne une autonomie de 437 km. Cependant, les réactions positives des clients pourraient conduire MG à équiper également les versions les moins chères de batteries CATL à l’avenir.

Il existe aussi une version haut de gamme de la nouvelle MG4 : la Anxin Edition. Cette version sera équipée d’une batterie semi-solide, qui lui permettra d’atteindre une autonomie de 537 km, légèrement meilleure qu’avec les batteries CATL.

On ne sait pas encore si la nouvelle MG4 2025 sera équipée de batteries CATL lorsqu’elle sera exportée à l’étranger. La date d’arrivée en France de cette MG4 restylée n’est pas encore connue, mais il fait peu de doute que la voiture sera vendue dans notre pays étant donné le succès qu’a rencontré la version précédente.

Les clients chinois ne s’y sont pas trompés : la nouvelle MG4 a enregistré plus de 10 000 commandes en 40 minutes lors de l’ouverture des ventes. La voiture pourrait donc aussi très bien se vendre en France, surtout si le prix n’est pas trop élevé.

En 2025, les offres de leasing pour des voitures électriques sont plus intéressantes que jamais. La LLD peut être une option pas cher pour essayer l’électrique si vous n’êtes pas encore sûr de sauter le pas. Avec des prix en baisse, le leasing électrique rivalise de plus en plus avec les voitures thermiques. Voici les meilleures offres de LLD électriques pas cher disponibles à l’heure actuelle.

Tout d’abord, une précision : les offres de leasing électriques les moins chères sont celles qui bénéficient du leasing social. Mais si vous n’êtes pas éligible, ce guide est fait pour vous : nous nous intéressons ici aux offres de LLD « standard » uniquement.

Nous avons classé ces 7 meilleures offres de LLD électrique pas cher par ordre de loyer effectif : peu importe ce qu’annoncent les marques, nous avons lu les petits caractères pour vous dire combien vous paierez effectivement à la fin du mois.

1) Dacia Spring : à partir de 79 € par mois

La Dacia Spring n’est pas éligible au bonus écologique, mais peu importe : elle est toujours l’une des voitures électriques les moins chères du marché.

Cette offre de LLD dure 49 mois, avec un premier loyer de 1300€. Cela donne un montant total de 5092 € pour ce leasing, soit un loyer effectif de 104 € par mois.

Si vous savez vous contenter de l’essentiel et avez seulement besoin d’un petit véhicule urbain, cette Dacia Spring est faite pour vous !

Voir le site officiel

2) Leapmotor T03 : à partir de 139 € par mois

Cette petite électrique chinoise du groupe Stellantis vient de faire son arrivée sur le marché français. Elle n’est pas éligible au bonus écologique, mais son prix très bas lui permet de proposer une LLD très abordable.

Certes, ce n’est pas la voiture qui impressionnera le plus vos voisins, mais avec son autonomie de 265 km, elle sera largement suffisante pour la plupart de vos déplacements.

Il n’y a pas de premier loyer majoré, le tarif total sur 36 mois est donc de 5004 € seulement ! Et le loyer effectif est bien de 139 € par mois, il n’y a pas de frais cachés, ce qui est à saluer.

Voir le site officiel

3) BYD Dolphin Surf : à partir de 199 € par mois

Cette voiture électrique chinoise récemment débarquée en France a connu un succès important dans son pays d’origine, la Chine, où elle est vendue sous le nom de Seagull. BYD s’impose comme le premier constructeur mondial de voitures électriques, un gage de qualité malgré le fait que la marque soit peu connue dans notre pays.

Pas de premier loyer majoré pour cette Dolphin Surf : le loyer effectif est donc bien de 199 € par mois, pour une LLD d’un montant total de 9 751 € sur 49 mois.

Voir le site officiel

4) Citroën e-C3 : à partir de 199 € par mois

La Citroën e-C3 fait également partie des meilleures ventes en France grâce à son prix très abordable. Il n’y a pas de premier loyer majoré pour cette offre ! Mais il faut ajouter 1100 € si vous ne faites pas partie des foyers à revenus modestes qui ont droit au bonus écologique maximum.

Cette LLD dure 48 mois, ce qui fait un tarif total de 10 652 €, donc un loyer effectif de 222 € par mois.

Voir le site officiel

5) Fiat 500e : à partir de 129 € par mois

Cette petite électrique urbaine est largement reconnue pour son design et son style. Elle souffre tout de même d’un défaut : son prix d’achat élevé. Mais heureusement, elle est éligible au bonus écologique, ce qui donne une offre de LLD très raisonnable lorsqu’on le soustrait.

Cette LLD dure 37 mois, avec un premier loyer de 3550 €. Néanmoins, si vous ne faites pas partie des ménages modestes qui ont droit au bonus écologique maximum, il faudra ajouter 1100 € à ce loyer pour prendre en compte le bonus réduit.

Cela nous donne donc un montant total de 9 294 €, soit un loyer effectif de 251 € par mois.

Voir le site officiel

6) Renault R5 électrique : à partir de 180 € par mois

La R5 électrique est partout sur nos routes : impossible de passer à côté de cette citadine au design rétrofuturiste. La voiture a rencontré un grand succès, et a pris la première place des ventes électriques en France avec 21 734 immatriculations depuis janvier.

Son offre de leasing dure 37 mois avec un premier loyer de 2880 €. De même que pour la Dacia Spring, il faut ajouter 1100 € si vous n’avez pas droit au bonus écologique maximum.

Le montant total du leasing est donc de 10 460 €, soit un loyer effectif de 283 € par mois.

Voir le site officiel

7) Volkswagen ID.3 : à partir de 159 € par mois

La Volkswagen ID.3 est le modèle le plus accessible de la marque allemande, en attendant l’arrivée prochaine de la petite ID. Polo.

Elle se démarque des autres modèles par son autonomie élevée de 388 km.

L’offre de LLD dure 37 mois, avec un premier loyer de 5000 €, ou 6100 € si vous ne bénéficiez pas du bonus écologique maximum.

Le montant total est donc de 11 824 €, soit un loyer effectif de 320 € par mois.

Voir le site officiel

Comme chaque année ou presque, BYD s’apprête à dévoiler une nouvelle version de la Dolphin, sa voiture électrique best-seller. Et la version 2026 s’annonce comme un grand millésime : d’après des fuites dans la presse chinoise, beaucoup de choses vont évoluer, notamment sur le plan mécanique. Voici tout ce qui va changer sur cette BYD Dolphin 2026 !

Un prototype de la nouvelle version vient d’être aperçu sur les routes chinoises. A cette occasion, le site spécialisé Carnewschina nous révèle de nombreuses informations. Tout d’abord, sa date de sortie : la BYD Dolphin 2026 devrait sortir au milieu de l’année prochaine, entre juin et août.

La marque a donc pris son temps pour peaufiner cette nouvelle version : en effet, le rythme des mises à jour ralentit, alors que deux versions étaient sorties en l’espace de 6 mois en 2024. BYD veut sans doute s’assurer que la mouture 2026 recevra suffisamment d’améliorations pour continuer à rivaliser avec la concurrence, qui est féroce en Chine.

L’enjeu est de taille : la BYD Dolphin est depuis longtemps la voiture électrique la plus vendue en Chine, avec 21 888 exemplaires vendus rien qu’au mois de septembre dernier.

Batterie, autonomie : la BYD Dolphin s’améliore encore en 2026

C’est du côté de la batterie que la Dolphin 2026 va le plus se distinguer du modèle de l’année dernière. En effet, la voiture va passer à la batterie BYD Blade 2.0, le nec plus ultra de la marque, et l’une des batteries les plus avancées au monde.

Il s’agit d’une batterie LFP (Lithium Fer Phosphate), dont la densité énergétique a été améliorée. En plus de ne plus contenir de nickel et de cobalt, des métaux controversés, elle sera plus résistante aux dégâts, et pourra être rechargée de façon ultra-rapide.

Et ce n’est pas tout : la Dolphin 2026 adoptera une nouvelle architecture cell-to-body, c’est-à-dire que la batterie sera intégrée directement à la carrosserie du véhicule. Cela permettra un gain de poids important, mais aussi un assemblage plus simple et moins cher.

L’autonomie devrait donc s’améliorer de manière significative. Le chiffre n’a pas été révélé, mais il devrait facilement surpasser les 520 km (CLTC) de la BYD Dolphin actuelle dans sa version avec la plus grosse batterie. De même, la version de base devrait dépasser les 420 km actuels.

Une version Propulsion devrait faire son apparition

Un autre gros changement est au programme pour cette BYD Dolphin 2026 : l’ajout d’une version Propulsion, à l’instar de ce qui se fait chez Tesla. Actuellement, la Dolphin est disponible uniquement en traction avant.

Cette nouvelle configuration pourrait permettre de meilleures accélérations, ainsi qu’un confort de conduite amélioré, ce qui n’était pas vraiment le point fort de la Dolphin pour l’instant.

La version Propulsion pourrait être associée à une motorisation plus puissante, ainsi qu’à une batterie encore plus grosse, ce qui ferait encore grimper l’autonomie.

La suspension sera également améliorée, avec un système à quatre voire cinq bras, ce qui améliorera encore le confort routier.

Intérieur, extérieur et design

L’intérieur ne sera pas en reste : il aura aussi droit à son lot d’améliorations sur cette BYD Dolphin 2026. Il devrait présenter un tableau de bord simplifié avec des sièges bicolores et un grand écran tactile central flottant. Il intégrera le système DiLink 5.0, alimenté par la puce Qualcomm 8295, offrant une réponse vocale en 0,8 seconde et une assistance à la conduite de niveau 2+. Le système sera capable de conduire sous pilote automatique sur l’autoroute.

Le design extérieur devrait perpétuer l’esthétique « Océan » de la marque, avec des phares plus fins, des prises d’air plus petites et une partie arrière raffinée dotée de feux arrière pleine largeur. Les dimensions de la voiture restent similaires à celles du modèle actuel : 4 280 mm de longueur, 1 770 mm de largeur et 1 570 mm de hauteur, pour un empattement de 2 700 mm.

L’apparence de la BYD Dolphin n’était pas son point fort : cette version 2026 pourrait corriger ce défaut, et rendre la voiture plus attrayante, pour mieux refléter l’avance technologique de la voiture.

Prix et sortie en France

Le prix de cette BYD Dolphin 2026 n’a pas encore été officialisé, mais il devrait rester dans la fourchette actuelle, malgré toutes les améliorations apportées. Il se situera donc entre 34 990 € et 37 640 €. Gardez néanmoins à l’esprit que de nombreuses réductions sont possibles : il est par exemple possible de trouver la BYD Dolphin à 31 690 € actuellement.

Concernant la date de sortie en France, elle devrait intervenir peu après la sortie en Chine, comme cela avait été le cas pour la version de cette année. Soit aux alentours du troisième trimestre 2026.

Les premières images du futur MG S6 ont fuité d’une manière pour le moins inattendue. Ce n’est pas MG qui les a publiées, mais l’organisme indépendant Euro NCAP, qui a réalisé les crash tests du modèle avant sa présentation officielle. Voici tout ce que nous savons à l’heure actuelle sur le MG S6 et sa date de sortie en France.

Au niveau du design, les lignes du MG S6 rappellent fortement celles du MG S5, déjà commercialisé en France depuis plusieurs mois. Le S6 s’en distingue toutefois par des dimensions plus généreuses : il visera un segment plus familial.

Sur le plan technique, les informations restent limitées, mais on sait que le SUV pèsera 1 908 kg, soit 183 kg de plus que son petit frère. Il devrait disposer d’un unique moteur électrique positionné à l’arrière, comme le S5. Il pourrait d’ailleurs reprendre exactement le même moteur. L’autonomie n’a pas encore été annoncée, mais elle pourrait atteindre environ 480 km avec la plus grande batterie, comme c’est le cas sur le S5.

Euro NCAP a déjà attribué au MG S6 la note maximale de 5 étoiles, un bon indicateur du sérieux apporté à la sécurité du véhicule. Un résultat qui devrait rassurer les futurs acheteurs européens, de plus en plus attentifs à ces critères.

Voici la date de sortie et le prix du MG S6 en France

MG a confirmé que le S6 sera officiellement dévoilé en novembre prochain. D’après plusieurs sources spécialisées, la date de sortie du MG S6 en France est prévue pour début 2026. Elle devrait coïncider avec la sortie mondiale du véhicule, comme cela avait été le cas pour le S5.

Côté tarif, le nouveau SUV devrait se positionner au-dessus de son petit frère. Le MG S5 débute actuellement à 28 990 €, et le S6 pourrait donc afficher un prix d’entrée autour de 35 000 €. Il sera en compétition avec de nombreux autres SUV du même segment, comme le Renault Scénic E-Tech, le Volkswagen ID.4, la Tesla Model Y Standard ou encore le BYD Atto 3.

Avec le S6, MG poursuit donc son offensive sur le marché européen de l’électrique, en élargissant sa gamme vers le haut tout en conservant son positionnement attractif. Reste à découvrir, en novembre, les spécifications définitives et le design complet de ce nouveau venu. MG est une marque déjà bien connue en France, notamment grâce à la très populaire MG4 : ce nouveau modèle saura-t-il réitérer l’exploit ?

La nouvelle Peugeot 208 prévue pour 2026 s’annonce comme une petite révolution. La voiture phare de Stellantis sera uniquement électrique, et elle inaugurera une innovation clé, le « steer by wire », une technologie futuriste jusque-là réservée à quelques marques haut de gamme.

Cette Peugeot 208 version 2026 sera la première voiture à être basée sur la nouvelle plateforme STLA Small de Stellantis. Cette plateforme électrique sera cruciale pour le groupe, car elle équipera à terme toutes ses voitures compactes et moyennes. Elle remplacera la plateforme e-CMP qui est actuellement utilisée sur la Peugeot e-208, la 2008, et l’Opel Corsa.

Plus d’essence, mais… le choix est toujours possible

Si vous adorez la Peugeot 208 mais ne souhaitez pas passer à l’électrique, pas de panique : la 208 thermique sera toujours fabriquée. Mais comme la version 2026 ne sera plus qu’électrique, il faudra vous contenter de rester sur le millésime 2025.

La Peugeot 208 est l’une des voitures préférées des Français, et même des Européens : au premier semestre 2025, elle s’est placée troisième au classement des ventes sur notre continent, avec 109 146 exemplaires vendus. Elle n’est devancée que par la Renault Clio et la Dacia Sandero. Le fait qu’elle devienne uniquement électrique en 2026 est donc un signal fort que l’adoption de l’électrique progresse.

Le PDG Alain Favey a déclaré que la marque était « engagée dans les véhicules électriques à batterie », mais aussi « engagée dans une offre multi-énergies ». Il a ajouté : « Notre stratégie est de laisser le choix de l’énergie au client. »

La marque est « engagée dans les véhicules électriques à batterie », mais aussi « engagée dans une offre multi-énergies », a déclaré Alain Favey, le PDG de Peugeot, au magazine anglais Autocar. « Notre stratégie est de laisser le choix de l’énergie au client. », a-t-il ajouté.

Le steer by wire, une technologie avant-gardiste

Le principal changement sur cette nouvelle Peugeot 208 2026 se trouvera à l’intérieur. Le fameux i-Cockpit de Peugeot sera remplacé par un tout nouveau concept, baptisé Hypersquare. Le volant deviendra rectangulaire, et surtout, il ne sera plus connecté physiquement à la direction : c’est le principe du « steer by wire », directement inspiré de l’aéronautique.

Cette nouvelle philosophie permettra une conduite encore plus agile et précise. C’était d’ailleurs l’une des qualités largement reconnues de la 208 : on comprend donc que Peugeot ait choisi cette voiture pour inaugurer ce nouveau système.

Mais surtout, le steer by wire permettra un gain de place important dans l’habitacle, grâce à l’absence de colonne de direction. « Ceux qui l’ont vu ont été choqués par la quantité d’espace libérée », a déclaré Linda Jackson, l’ancienne directrice de Peugeot au Royaume-Uni. D’après elle, le steer by wire « améliore quelque chose qui est absolument fondamental pour Peugeot : le plaisir de conduire ».

Avec cette nouvelle technologie, Peugeot entrera donc dans le club très fermé des marques maîtrisant le steer by wire. Actuellement, seuls le Tesla Cybertruck, la Lexus RZ 450e et la Nio ET9 en sont équipées de série.

Voici la date de sortie et l’estimation du prix de la nouvelle Peugeot 208 2026

La date de sortie de cette nouvelle Peugeot 208 est prévue fin 2026. Comme la 208 actuelle, elle sera produite à Saragosse, en Espagne. Sa jumelle l’Opel Corsa suivra début 2027, ainsi que la nouvelle Peugeot 2008.

L’autonomie de cette Peugeot 208 2026 n’a pas été officialisée, mais elle devrait être revue à la hausse pour refléter la baisse du prix des batteries et s’aligner sur la concurrence. Actuellement, la version de l’e-208 équipée de la plus grosse batterie a une autonomie de 433 km.

Le prix de cette nouvelle 208 n’a pas non plus été confirmé, mais il devrait être similaire à celui de l’e-208 actuelle. Son prix est de 28 100 € pour la version d’entrée.